• La triste vérité

     La triste vérité

     

    La triste vérité

     

    La nature prenait une teinte automnale,

    Un vent froid parcourait la plaine et la glaçait.

    Votre  âme s’attristait d’une plainte atonale,

    Je voyais le ciel noir au loin, qui menaçait.

     

    Un vent froid parcourait la plaine et la glaçait,

    Une feuille tombait doucement de la branche.

    Je voyais le ciel noir au loin, qui menaçait,

    Ce souvenir grossit en mon cœur et s’épanche.

     

    Une feuille tombait doucement de la branche,

    Ô saison que n’es-tu cet éternel été ?

    Ce souvenir grossit en mon cœur et s’épanche,

    Je lisais en vos yeux la triste vérité.

     

    Ô saison que n’es-tu cet éternel été

    Sublimant l’horizon dès l’heure matinale?

    Je lisais en vos yeux la triste vérité,

    La nature prenait une teinte automnale.

     

    Hz 

    « Jean FerratLe printemps »

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